Vavoune, le cheval magique 2

Emile, en rentrant de l'école, aperçu Marine qui l'attendait depuis longtemps.

Bien entendu, la première chose qu'il décida de faire, c'était de l'embrasser. Mais ce baiser n'était pas le meilleur de tous les baisers qu'il avait déjà donner car le poulain de Vavoune, Prinz, venait d'hennir en raclant de la gorge. Emile accouru et Marine était a ses talons. Joullia, qui n'était pas loin elle non plus, déplia ses ailes et, du plus rapide qu'elle put, fonça vers son petit. Marine avait mal aux yeux et se cacha derrière Emile pour ne rien voir.

« Il est très mais alors très, TRES malade. dit Vavoune qui était couché à côté de lui.

- Mais que peut-on faire alors ? dit Marine les larmes aux yeux.

- Je vais partir chercher LE médicament à cette maladie ; il est rare mais je me débrouillerait.

- D'accord ! Mais je viens avec toi ! dit Emile en se relevant d'un coup.

- Oh Emile ! Fait très attention je t'en supplie ! répondit Marine en séchant ses larmes.

- Ne t'inquiète pas Marine, Joullia veilleras sur toi et sur Prinz. »

Marine fit un dernier baiser à Emile qui partit voir Vavoune.

Emile monta alors sur le dos de son coéquipier qui partit au galop dans la poussière.

Marine les regardait partir en direction de la planète Falgor, la plus dangereuse de la galaxie.

Une heure plus tard, Emile et Vavoune étaient arrivés à la planète, cette planète si dangereuse, la planète Falgor mais, Vavoune marchait sans savoir ou aller et Emile scrutait les horizons.

Ils cherchèrent, fouillèrent partout mais en vain : pas de médicament dans les parages. Vavoune était déjà venu ici, il le savait! Et d'un coup, le ''clic'' arriva et Vavoune se rappela de tout ; il regarda autour de lui, comme un cheval apeuré, et se souvint de la planète autrefois.

Aujourd'hui déserte, il se rappela d'absolument tout. même d'un petit détail que lui avait confié Marine : Sa sœur et son palais en ruines.

Vavoune avançait, prudemment, tandis que Emile ne se souciait de rien.

« Emile. Fait attention, tu te souviens de ce que t'a dit Marine? C'est dangereux ici!

- Ne t'inquiète pas Vavoune! même si je me méfiait, ça ne servirait a rien, regarde! C'est désert ici! »

Juste après qu'Emile ai fini sa phrase, un Narcassin arriva a toute vitesse sur Emile.

« Emile! Le narcassin là-bas! Ils sont du côté obscure!

- Je le vois! Fonce!!! »

Mais Vavoune n'aurait pas le temps de le semer, il courait trop vite! Alors Vavoune se souvint d'une chose importante qu'avait dit un centaure : ''Tu à sauvé ma fille, si tu a besoin d'une grande aide, crie ''Alador!'' et je viendrais!''. Et oui, un jour, Vavoune avait sauvé une petite fille centaure, mais après cette révélation, il fallait crier!

« Alador! Vient vite! »

Mais juste un mot suffit pour qu'Alador, chef du troupeau des centaures, parvienne à eux.

« Grimpez! Vite! Le narcassin vous rattrape! »

Alador dit, Emile fit. Vavoune décolla verticalement. Le narcassin ne comprenait rien, cette créature ressemblant à un vieux elfe guerrier, avait une petite tête, et dedans, pas grand chose non plus.

Alador, Vavoune et Emile rentrèrent vers la Terre. ''Cette planète, Falgor, est dangereuse, j'aurait dû me méfier...'' pensa Emile. Ils arrivèrent a portée de la couche d'ozone quand Alador s'arrêta.

« Je ne peux pas aller plus loin, je suis désolé, je ne respire pas d'air. Ou alors...

- Ou alors rien, merci beaucoup Alador, sans toi je ne sait pas où nous seront actuellement! répondit Emile

- Moi je sais, mais bon, il ne faut pas y retourner maintenant, les narcassins on dû redoubler la garde. fit Vavoune, plus sérieux que jamais »

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Il était l'heure de repartir, Vavoune allait chercher Emile quand, juste devant Emile, il eu une vision, une réelle cette fois. Il voyait une fille, aux cheveux vers, capturée, en train de pleurer. Un homme était dans la cage d'à côté, lui, pleurait aussi. Les narcassins les surveillaient de près, qu'avaient-t-ils donc, Ces deux-la?

Vavoune avait déjà vu cette fille, il en était sûr, il le savait!

« Bon Emile, C'est pas tout ça mais Prinz va mourir! C'est mon poulain, ça devrait dire quelque chose pour toi! Il faut repartir vers Falgor, il le faut! C'est obligé!

- Tu à raison Vavoune! Prinz, le pauvre... C'est parti! En selle cow-boy! »

Emile grimpa sur le dos de Vavoune qui galopas ensuite vers la Falgor, la planète la plus dangereuse de l'univers.

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Ils arrivèrent sur cette planète, Falgor, dont le nom fût répété un bon nombre de fois dans l'histoire. Emile descendit de son destrier et regardait autour de lui. Quand soudain, un cri retentis, c'était un narcassin qui avait attrapé un fugitif de la race des eurogors.

« On s'en fiche d'eux! Ils nous veulent pas, c'est l'essentiel. N'est-ce pas Vavoune?

- …

- Vavou... ?!!! »

Emile n'eu pas le temps de finir sa phrase qu'un eurogors se jeta sur lui. Vavoune fût pris lui aussi.

« Bienvenue, étrangers, je me nomme Goury, de la race eurogors, d'où venez-vous? Vous n'avez pas une tête de Falogrien.

- En effet, nous somme Terriens, de la planète Terre, et nous cherchons le médicament pour la mézo-politainissienne.

- Je vois, alors nous vous aiderons!

- Vous n'êtes pas du côté obscure? retorqua Emile, à moitié là

- Non, nous sommes depuis 40 ans en guerre contre les narcassins. Car ces idiots on capturés deux humains, une fille et un homme, mais pas n'importe les-quels! Ce couple est le couple royal qui, avant d'être capturé, nous protégait contre les narcassins. expliqua Goury, Et si vous voulez le médicament, il nous faut le couple.

- Un couple royal humain sur la planète Falgor? Incroyable!!

- Nous vous aiderons! Vous pourrez toujours comptez sur nous, croyez-moi! Parole d'eurogors »

A ces mots, ils passèrent à l'action. plusiseurs eurogors allaient faire diversion pour attirer des narcassins. Et cela à fonctionner! Vavoune et Emile incrustèrent alors le palais des narcassins . Ils fouillèrent de fond en comble, pas une trace du médicament. Quand ils virent quelque chose qui intrigua Vavoune, les prisons du palais!

Vavoune partit vers la droite et Emile au milieu, vers la gauche, les gardes étaient réunis. ''Les prisonniers royaux! C'est sêrement ça!'' pensa Vavoune. Il transmit sa pensée à Emile par télépathie, et ils agirent.

« Emile. chuchota Vavoune, Il faut aller les délivrer! Fait diversion et enfile ça. »

Apres ces mots, Vavoune agita ses oreilles, remua sa queue et fit appelle à ses pouvoirs. Un déguisement de narcassins apparu alors. Emile l'enfila et couru en direction de ses ennemis. Une fois devant eux, il leur cria :

« Vite! Venez! Une invasion d'eurogors nous tombe dessus! Il vont tout détruire! Dépêchez-vous! »

Emile couru avec eux jusqu'au dehors puis rentra dans le château, laissant ses amis dehors.

Vavoune, quand à lui, essayait de délivrer les

jeunes personnalités royales. Mais il n'y parvint point.

Emile accourut pour voir ou en était son ami. Il voyait les cages fermées et Vavoune en train de se débattre contre une armée de fer.

« Mon amie, Vavoune, essaye plutôt de trouver les clefs.

- Qu'est-ce que je fait, tu crois? rétorqua Vavoune

- Ah... Excuse-moi. répondit Emile, confus

- Ne t'excuse pas! Ça ne ce voit pas, je le sais. s'excusa ensuite le cheval. Ah! Je les ai! »

Et en un éclair, Vavoune s'arrêta de gesticuler et un trousseau de clefs apparu dans sa bouche. Il les passa à Emile, qui, par la suite, ouvrit les cages des prisonniers. La princesse sortit, puis le prince. Vavoune enfourcha le couple, prit Emile par le T-shirt, galopa jusqu'à la sortie puis s'envola par-delà les narcassins.

« Sacrilège! Le couple royal! Nous allons tous mourir! »

Ils avaient commis un crime, ils l'avouaient, mais ils en avaient besoin. Emile grimpa avec tant bien que mal sur le dos de son destrier. Vavoune avait a présent trois cavaliers. Ils galopait, de temps en temps trottait, puis volait, mais n'abandonnerait jamais. Ils arrivèrent enfin eu repère des eurogors, après 5 min de course, Vavoune n'en pouvait plus, ils faut dore qu'il avait du poids sur le dos! Le couple royal descendit du cheval, et dans la seconde qui suivit, les eurogors les saluèrent et les implorèrent.

« Merci à vous, Emile et Vavoune, de nous avoir sauvés, je ne sais comment vous remercier. dis la princesse Clara

- C'est naturel, et j'ai mon idée, il y a un poulain qui à la mézo-politainissienne sur la planète Terre. expliqua Vavoune, Et les eurogors m'ont dit que vous saviez préparer le médicament.

- Il est vrai, Vavoune, que Clara sais le fabriquer. répondit le prince Velleda, Mais il lui faut des ingrédients, ils viennent de la planète Thoru.

- La planète Thoru? J'ai un ami là-bas, je reviens, donnez-moi juste la liste. »

Vavoune dit, Clara fit. Elle lui donna la liste avec un clin d'œil accompagnatif. Vavoune comprenait, il ne savait toujours pas qui s'était, mais il la connaissait. Il s'envola vers la planète Thoru et rapporta les ingrédients, il remercia Alador, qui l'avait aidé deux fois, puis repartit.

« Alors voilà, une racine de magnoi, une tige d'herbe, une infusion de carottes et de pommes et une feuille d'herbe. dit Vavoune, hors d'haleine

- Merci à toi, Vavoune, destrier d'Emile. répondit Clara »

Clara commença à préparer le médicament. Mais Vavoune s'inquiétait de plus en plus pour son poulain, avait-t-il survécu? Cela faisait un moment qu'ils étaient partis.

Clara venait de finir, mais elle ne réalisait toujours pas à quel point la liberté, c'était magique. Velleda demanda un autre service à Vavoune :

« Vavoune, pourrait grimper sur ton dos et aller signer la paix entre les eurgoros et les narcassins au palais?

- Je vous en prie, prince Velleda. répondit Vavoune »

Velleda fit, Vavoune et le prince firent, le prince Velleda était partit pour signer la paix entre les deux races. Emile, Clara et les eurogors restaient dans le repère. Ils firent donc connaissance.

« Mon cher peuple, je n'arrive pas à croire que je vous revoit, en chaire et en os! Et toi, Emile, mille merci!

- Je vous en prie, altesse, c'était un honneur, et de plus, je n'avais pas forçément le choix. »

A peine Emile avait fini de parler que Vavoune et Velleda revinrent du palais. Il avait signé la paix! On

voyait de loin les narcassins détruire leur palais, tout comme les eurogors sortaient de leur repère. Ils

déposèrent tous leur armes, puis, les eurogors remercièrent du fond du cœur le duo de choc, sans eux,

ils seraient toujours en guerre. Ils proposèrent au couple de rentrer donc sur Terre, et ils acquiescèrent.

Vavoune fit apparaître un cheval ailé, entièrement contrôlé par lui.

« Grimpez, ne vous en faites pas, je le contrôle, il fera n'importe quel mouvement que je ferait.

- Merci. répondit Clara »

Le couple monta donc sur le cheval ailé et Emile rejoignit sa moitié et ils rentrèrent en direction de la Terre.

Direction la planète Terre! Vavoune était heureux, son fils allait pouvoir guérir! Marine attendait Emile avec Joullia a côté, qui portait Prinz et, grâce a son pouvoir, il volait.

« Emile! Vavoune! Enfin! cria Marine

- Marine! On a le médicament!

- Youpi! Marine n'en pouvait plus, elle était plus qu'heureuse

- Prinz, boit ça. »

Prinz, sans le savoir, but. Mais il n'était pas guéri, il fallait attendre, deux ou trois jours.

Marine, tellement absorbée par l'idée de guérir le poulain, n'avait même pas vu que sa sœur était là.

« Marine? demanda Clara

- Oui, quoi? OH!!! Clara!!! répondit Marine, Je ne t'avais pas vue, désolée. Elle baissa la tête

- Normal, Prinz allait mourir, ne t'inquiète pas, mais cela fait si longtemps!

- Oh oui! Ma sœur est de retour!

- Et euh, je te présente mon fiancé, Velleda. Clara rougit tout à coup

- Bonjour, je suis enchanté de te connaître, chère belle sœur

- Moi aussi, Velleda. Marine fit un sourire, elle était si contente! »

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Un jour passa, Marine et Clara se racontèrent leurs aventures et comment elles avaient rencontrés leur aimant. Velleda faisait connaissance avec Vavoune, quand à Emile, il était avec Joullia et surveillait le poulain, dans l'espoir qu'il guérisse vite.

« Emile,ne t'en fait pas, il a prit le médicament, il va guérir. dit Joullia

- Je sais mais, il ne faut pas une deuxième dose? Parce-que quand moi j'ai la grippe...

- Ecoute, la mézo-politainissienne est une maladie que seuls les chevaux, les centors ou les licornes ont, cette maladie est assez rare, quand on l'a on peut mourir, et très souvent ce sont les poulains qui l'ont...

- Alors il risque de mourir!

- Oui mais laisse-moi finir et écoute.

- …

- Cette maladie, ce ne sont que les poulains qui peuvent l'avoir, moi je l'ai eu par exemple, et j'étais déjà avec Marine comme maîtresse. Elle est allée chercher le médicament sur la planète Thoru, elle est revenue et m'a guérie, pendant une semaine je ne pouvait plus bouger, mais j'entendais les bruits de pas et les paroles. Je sais, c'est affreux d'avoir cette maladie assez jeune, mais c'est comme ça, et quand on à prit le médicament, on est guéri, il faut juste attendre qu'il agisse. »

Quelle histoire! Emile n'en revenait pas! Qu'est ce qu'elle parle beaucoup, cette Joullia! Mais au moins, Emile avait compris, et il n'avait plus à s'inquiéter.

« Alors Carla, tu as abandonner ton rêve?

- Et bien oui tu vois, de toute façon, Velleda et ma planète me suffisait! Mais maintenant que la paix est signée...

- Rholala! Arrête de te lamenter!

- Je me lamente pas! Je dis juste que maintenant que la paix est signée, je n'ai que Velleda, et cela me suffit.

- Tu as bien besoin que d'un fiancé toi! Moi, c'est vrai, je l'avoue, je n'ai besoin que d'Emile, mais avec Joullia, Vavoune et Prinz, je me sent mieux, et disons que j'ai accomplie ton rêve! elle lui fit un clin d'oeil

- Oui, je suis d'accords. Je m'en achèterais donc un ici, d'étalon.

- Bonne idée! »

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Le lendemain, Emile et Velleda préparaient le petit-déjeuner tandis que Clara et Marine s'habillaient. Ils déjeunèrent tous ensemble sur la terrasse. Puis Velleda et Clara demandèrent à Vavoune de leur faire visiter la Terre, et il accepta. Emile et Marine allèrent voir le poulain.

Quand ils arrivèrent, ils virent qu'il y avait un progrès dans la guérison! A présent, Prinz arrivait a rester debout 10secondes! Marine fit un sourire puis pleura, pleura des larmes de joies. Emile faillit en faire de même.

« On a de la chance! dit Joullia tout à coup, Prinz sera guéri demain! C'est pas tout les poulains qui sont guéris en deux jours...

- Oui! Mon chouchou! Je vous aime! Mes amis! Merci à vous! Mais surtout au duo de choc! Mon fiancé et son destrier! J'aime ma vie, je suis heureuse.

- Nous aussi, a présent, nous aimons notre vie, merci à vous. dit Velleda, qui venait de revenir avec Clara et Vavoune »

Cela faisait à présent un mois que les quatre amis et leur cheveux vivaient sur la Terre. Prinz était guéri et allait même avoir un petit frère ou une petite sœur!

« Emile? demanda Marine

- Mmmh?

- Mais... Que fait-tu de ta mère, à présent? elle doit te manquer, non?

- Pas tant que ça, mais elle me manque quand même.

- Et où est-elle?

- En ce moment, à Paris, elle nous à laissé à la campagne car elle n'avait pas le choix. C'est pour son travail, mais pourquoi, tout à coup, tu t'intéresse à elle? répondit Emile

- Et bien, tu vois, comme Joullia va avoir un nouveau poulain... Et bien... Enfin voilà, j'ai pensé à ta mère... elle rougit, tête baissée

- Je comprends. il lui fit un clin d'oeil »

Velleda et Clara, question de découvrir cette merveilleuse planète, étaient partis pour

St-Tropez, pendre de belles vacances.

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Le lendemain matin, alors qu'Emile était toujours dans son lit, il repensa a ce que lui à dit Marine hier. Il se tourna mais, par surprise, Marine n'était pas dans son lit! Il s'habilla alors et sortit en vitesse. Il la vit parler avec sa mère, elle était revenue!

Marine parlait avec Florence, la mère d'Emile, elles parlaient juste de leurs vacances, tout allait bien.

« Emile! cria Florence, Enfin debout?

- Euh oui, bonjour maman.

- Mon biscuit! Marine fit un petit rire derrière Florence, Tu as passé de bonnes vacances, j'espère!

- Mais oui! Ne t'inquiète pas! Mais... Emile baissa la tête, Pour quoi est-tu revenue si tôt?

- Pourquoi? Tout simple! Je suis juste venue offrir le cadeau de Vavoune!

- Ah... Tu repart après?

- Oui, je suis désolée. Mais tu sais, si j'ai fait le voyage pour lui offrir moi-même, c'est parce que Vavoune n'est pas un cheval ordinaire tu sais!

- Oui, je sais.

- Il t'a fait rencontrer cette jeune fille, ravissante. Marine rougit, Et il paraît des nouveaux amis aussi! Dommage qu'ils ne soient pas là. Bon! Direction : l'écurie! »

Florence était douée en flatteries, mais là, elle passait en coup de vent pour offrir le cadeau de Vavoune, elle devait repartir dans a demi-heure suivante.

Ils arrivèrent donc à l'écurie, où Vavoune était couché près de Joullia.

« A oui maman! dit Emile, Joullia va avoir un autre poulain.

- Quelle bonne nouvelle! »

Et là, on ne sait pas pourquoi mais Emile et Marine rougirent. Florence offrit à Vavoune une couverture bien chaude pour l'hiver ou même la nuit. Puis elle repartit en embrassant son fils. Vavoune mit la couverture sur le dos de sa jument par instinct familial.

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Quelques mois passèrent, Joullia avait accouché la veille du nouveau né. Un petit poulain bai clair à la crinière noire. Il ne tenait pas spécialement debout pour le moment. Joullia passait son temps à le laver et à hénir. Elle hénissait presque sans arrêt pour apprendre à son petit. Elle essayait aussi de le faire marcher, même si elle savait qu'il ne réussirait pas avant deux ou trois jours.

Emile et Marine s'ennuyaient, ils ne savaient pas quoi faire, ni où s'aventurer. Quand Emile eu une idée! Il en fit par a Marine.

« Marine! Ecoute ça! On à un poulain qui vient de naître, tu sais, Eclair.

- Ben oui je sais! Que veut-tu faire avec le petit Eclair?

- C'est simple! Juste lui faire découvrir le monde!

- Et nous serons avec Vavoune et Joullia! Oh, s'il te plaît, accepte!

- Mais pourquoi je dirais non! »

Et c'est ainsi, par une idée de Vavoune transmise à Emile, que les six amis, la famille cheval et le couple humain, partirent donc pour explorer le monde, en compagnie d'Eclair, le nouveau née.

« Je ne dirais qu'un mot, bravo! C'était une très bonne idée, peu importe de qui elle venait! »

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